Souhaitez-vous développer TRIXXO Jobs en Wallonie ?
Frank : Bien sûr, la marque TRIXXO estdéjà connue en Wallonie. Nous pouvons profiter de cette notoriété. De plus, nous devons pouvoir servir nos gros clientsqui travaillent dans tout lepays en offrant nous aussi une couverture nationale.
À quelle rythme souhaitez-vous développer TRIXXO Jobs en Wallonie ?
Frank : Nous voulons nous y implanter solidement aussi vite quepossible. Contrairement aux Pays-Bas, où nous misons principalement sur les acquisitions d’agences, nous cherchons en Wallonie à atteindre une croissance organique, en mobilisant nos ressources internes. Nous y arriverons car nous pouvons nous baser sur le réseau d’agences de TRIXXO Titres-Services.
La différence de langue vous complique-t-elle la tâche ?
Frank : Non, tout se passe comme prévu. Bien sûr, nous devons adapter nos systèmes au bilinguisme et notre siège social doit fournir ses services dans les deux langues. Mais nous nous y étions préparés, alors tout se passe bien. Je suis fermement convaincu que nous rencontrerons un franc succès en Wallonie. »
Tahin Randriana
Business Development Wallonie chez TRIXXO Jobs
Dans l’agence TRIXXO Jobs de Liège, tout sent encore le neuf. Nous rencontrons Tahin Randriana, le premier collaborateur wallon de TRIXXO Jobs. Il se lance avec enthousiasme dans le développement de la branche wallonne de TRIXXO Jobs.« Je suis fermement
convaincu que nous réussirons. »
Qu’est-ce qui vous a attiré dans cette fonction ?
Tahin : TRIXXO a une bonne image de marque dans notre pays. C’est une opportunité unique que de pouvoir travailler pour une entreprise belge qui a fait ses preuves dans ce secteur et qui est très axée sur la croissance. Et puis, je peux participer à la création de quelque chose de nouveau, comme un pionnier en Wallonie. Autrement dit, le défi est grand et ça me plait.
Comment allez-vous vous y prendre ?
Tahin : Nous devons nous faire connaître des entreprises locales et les convaincre de travailler avec nous. Nous pouvons aussi nous appuyer sur le réseau existant des agences TRIXXO. Et enfin, nous pouvons désormais servir aussi en Wallonie nos clients qui sont implantés à l’échelle nationale. Bien sûr, nous devons tenir compte des usages et des règles qui ne sont pas tout à fait les mêmes qu’en Flandre.
Quelles sont ces différences ?
Tahin : Le taux de chômage est de 9 % en Wallonie, alors que la Flandre ne compte que 4 % de demandeurs d’emploi. C’est autant d’opportunités pour nous. D’un autre côté, il y a un peu plus de lourdeurs administratives, ce qui peut avoir tendance à ralentir les processus. Mais nous ciblons aussi les travailleurs qui souhaitent réorienter leur carrière, et pas seulement les demandeurs d’emploi. Parce que ces profils expérimentés sont aussi intéressants pour nous.
Quelles sont vos ambitions ?
Tahin : Nous voulons croître rapidement. Nous devons d’une part doubler et élargir rapidement notre réseau d’agences. Et d’autre part, nous pouvons nous spécialiser en fonction des régions, par exemple dans les emplois de l’horeca.
Quels moyens allez-vous engager pour réaliser ces objectifs ?
Tahin : D’abord et avant tout, nous devons constituer une bonne équipe. Ensuite, nous devons instaurer une organisation efficace avec une stratégie mûrement réfléchie, et nous devons nous montrer réactifs et créatifs. Pour cela, nous avons notamment besoin d’outils connectés, comme un système de recherche en ligne URP. Mais nous devons aussi mobiliser d’autres ressources numériques comme WhatsApp ou TikTok. Et, bien sûr, nous devons continuer à entretenir nos contacts personnels. Nous le faisons par téléphone ou en recherchant des candidats dans les écoles ou les salons de l’emploi.